Trotte et Zaude |
Les deux semaines précédentes, je n'ai pas monté Néli pour explorer l'hypothèse : "la toux chronique est due à un problème de cicatrisation des bronches suite à la gourme" (hypothèse écartée, hypothèse retenue : allergie à la poussière ou début d'emphysème) et nous avons donc travaillé le van que nous avions sciemment oublié depuis notre arrivée au Sepey. Quand j'ai repris ce travail, Néli montait directement dans le van, mais elle n'était pas tranquille, ronflait, et demandait de suite à redescendre. À la fin des 10-15 jours de travail, elle monte très bien, elle reste dans le van sagement pendant que je bouge devant, que je descends, que je vais à ses fesses. Elle accepte que je bouge le pont ou la barre de queue, mais là elle n'est plus tranquille. Affaire à suivre.
Or donc, je ferme le van jeudi matin sous le soleil, Néli ronfle, et en route maestro.
Chez élodie nous avons travaillé un peu ses chevaux, nous sommes sortis en extérieur, nous avons surtout pris le froid et la pluie, Néli s'est un peu fait casser la gueule à la récré par Naka, et je suis allée une journée en auditrice au stage chez F. Pignon.
Au retour, Néli est totalement stressée quand je la sors de son paddock et donc n'est pas du tout enchantée à l'idée de retrouver le van. On commence là où elle est à l'aise, c'est à dire loin du van, je demande un pas vers le van et je recommence. De cette manière là en 15' avec des pauses, on revient au point acquis avant le voyage pour venir chez élo : Néli calme dans le van, qui ne sort pas quand je descends du van et qui descend en plusieurs fois, à la demande, et à qui je peux demander de ré avancer quand elle descend. On ferme la boite et on rentre sous une pluie battante à Lyon. Au passage, judicieux conseil d’Élodie : j'oubliais un peu de demander d'autres exos entre 2 essais au van (ex pas espagnol, reculé.. )
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